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Chiffres clés

Le PAEEJ en chiffres

39149 Jeunes directement formés
3823 Projets financés
4014 Stages offerts
126868 Jeunes sensibilisés
446 Stagiaires embauchés
12418 Emplois permanents créés
57439 Emplois temporaires créés
51311 Emplois Potentiels Créés

PAEEJ exhibition week

Du 15 au 23 Décembre 2023

A Zion Beach - Bujumbura et en ligne

Salon, conférences, networking, rencontre B2B, spectacles
Agenda

Activités &
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Expositions, séminaires, formations, ateliers, spectacles et événements majeures, le PAEEJ fourmille d’activités gratuites au profit de la jeunesse burundaise !
Témoignages

Ils parlent du PAEEJ

Qu'ils soient Entrepreneurs, Artisans, Travailleurs ou Stagiaires, des milliers de jeunes passés par le PAEEJ expriment leur satisfaction et leur gratitude...
Zacharie Sibomana
Jean Marie Habimana
Floris Niyonkuru
Elodie NIYONZIMA,30 ans
Didace Nizigiyimana
Yvan Bwirukiro
Aloys Ndayihanzamaso
Willy Tuyisenge
Médiatrice 25 ans
Sandrine Kezimana
Serges Ningabire
Daniel Barakamfitiye
Salvator Bahaminyakamwe
Landry Nikiza
Lin Niyondavyi
Franck Ndisanze
Obède Nsengiyumva
Lambert Bizimana
Valentine Ndayisenga
Kelly Ngaruko
Rachidi
Jean Marie Kajeneza
Célestin Niyongabo
Eloge Niyomwungere
Isaïe Ndayihimbaze
Nadège Ntunzwenimana
Serges Kwizera
Divine Irambona
Arcade NDUWIMANA
Elysée Niyera
Violette Ntirampeba
Landry Bihorimbere
Vianney Baseka
Aron Niyuhire
Athanasie NDAYIRAGIJE, 27 ans
Eliezer Iradukunda
Ernest Nizigiyimana
Benoît Nikiza
Claude Kubwimana
Nephtalie Ciza
Aubin Kezingabo
Landry Gatore
Abassi Sibomana
Cédric Niyongabo
Richard Mpawenimana
Clovis Munezero alias ‘’Happy’’

J’attends une production de 12 à 15 tonnes de haricots équivalents à autour de 20 millions Fbu. J’embauche 70 personnes partiellement durant la saison culturale, en plus de 6 employés permanents. J’ai un chiffre d'affaires de 50 millions Fbu aujourd’hui.

Zacharie Sibomana
Agri-élevage, Muyinga
Zacharie Sibomana

Diplômé de master en Anglais, j’ai dû retourner sur ma colline natale faute d’avoir un emploi. C’est ainsi que j’ai eu l’idée de lancer ce projet de transformation du soja. J’ai commencé comme vendeur ambulant avec un sceau de viande dans les mains. J’ai commencé avec un très petit capital. Je ne gagnais que 150 mille Fbu par mois. Mais ce qui m’a encouragé à continuer, les gens aimaient beaucoup le tofu. Depuis le financement du PAEEJ, ma vie a changé. Le capital a augmenté et la production de même. J’ai pu embaucher 9 employés à temps plein. Je gagne le minimum de 500 à 600 mille Fbu de bénéfice par mois

Jean Marie Habimana
Transformation du soja en tofu (viande végétale de soja), Karusi
Jean Marie Habimana

Le financement du PAEEJ va me permettre d’étendre les enseignements dans les écoles publiques. J’ai déjà signé des partenariats avec quelques écoles privées. Un seul partenariat avec une école me fait gagner autour de 15 millions de Fbu sur l'année scolaire. Parmi les jeunes que j’ai formés, 2 ont eu des contrats à l'étranger au Canada et en France.

Floris Niyonkuru
Fondateur de l’entreprise robotique « Quick Witted Company », Bujumbura Mairie
Floris Niyonkuru

D’ici deux ans, chaque jeune de cette coopérative aura ses propres 2 millions de BIF. Ma vie va certainement changer. Maman de deux enfants, je serai désormais autonome, plus question de dépendre de mon mari.

Elodie NIYONZIMA,30 ans
Vice-présidente d’une coopérative financée par PAEEJ dans l’élevage de porcs.
Elodie NIYONZIMA,30 ans

J’ai passé de 18 lapins à plus de 100 lapins grâce au financement du PAEEJ. Avant, je vendais 10 à 20 lapins par mois. Grâce au PAEEJ, je peux vendre 60 voire 100 lapins. Je fournis aussi les lapins aux différentes coopératives. J’ai embauché 15 travailleurs de champs temporaires et 3 employés salariés.

Didace Nizigiyimana
Chef de la société Rabbit Vision Burundi fait l’élevage de lapins, Karusi
Didace Nizigiyimana

J’ai déjà embauché 15 jeunes. Par mois, je gagne jusqu’à 600 mille Fbu de bénéfice. Nous sommes très reconnaissants envers le chef de l’Etat qui a fait sa priorité la jeunesse. Aujourd’hui, nous n’avons plus peur de travailler, de réaliser nos rêves.

Yvan Bwirukiro
Couture-tissage, Kayanza
Yvan Bwirukiro

Avec le soutien du PAEEJ, la production a été multiplié par 4 : nous produisons 12 mille boîtes de pommades par mois contre 3000 avant. Le personnel a augmenté, passant de 3 à 8. Le marché d’écoulement s’est aussi agrandi. Nous vendons nos produits dans plusieurs provinces du pays. Avant, c’était à Bujumbura seulement. Notre coopérative a débuté avec un capital de 1 million Fbu. Aujourd’hui, nous avons un chiffre d’affaires de plus de 60 millions Fbu.

Aloys Ndayihanzamaso
Président d’une coopérative qui transforme le miel en produits thérapeutiques, Bujumbura rural
Aloys Ndayihanzamaso

J’ai commencé avec un très petit capital de moins de 200 mille Fbu. Le financement du PAEEJ m’est parvenu alors que j’avais un chiffre d’affaires de 500 mille Fbu. Grâce au soutien du PAEEJ, nous avons pu produire des mèches de plusieurs couleurs et mon produit a pu aller sur le marché. Avant, je produisais une seule couleur. Mon chiffre d’affaires mensuel est passé de 200 mille à 600 mille Fbu aujourd’hui.

Willy Tuyisenge
Fabrication de mèches en banane, Rutana
Willy Tuyisenge

Adieu le calvaire quotidien dans les champs. Bonjour l'élevage de porcs qui va changer ma vie. D’ici deux ans, ma coopérative aura gagné une somme de 3 millions de BIF après avoir remboursé le capital de base.

Médiatrice 25 ans
Membre d’une coopérative financée par PAEEJ dans l’élevage de porcs.
Médiatrice 25 ans

Ça m’a pris plus de 4 ans pour réaliser mon projet de fabrication de serviettes hygiéniques. Car je n’avais pas de moyens, la machine coûte très chère. Grâce au PAEEJ, mon rêve est devenu réalité. J’ai pu lancer mon produit Aujourd’hui, le produit se trouve dans 10 provinces. Après 9 mois de démarrage de mon entreprise, j’ai déjà écoulé 1500 cartons.

Sandrine Kezimana
CEO de l’entreprise Seka nawe, Fabrication de serviettes hygiéniques, Bujumbura mairie
Sandrine Kezimana

Avant le financement du PAEEJ, je ne gagnais presque rien. Je me retrouvais avec 30 à 50 mille Fbu tout le mois. Mais grâce au capital du PAEEJ, je peux gagner jusqu’à 500 mille Fbu le mois.

Serges Ningabire
Fabricant des chaussures en cuir, ceintures, ballons...
Serges Ningabire

Nous avons le souci d’offrir aux Burundais des chaussures solides et de qualité car beaucoup marchent à pied. Avant le financement du PAEEJ, je fabriquais 5 paires de chaussures par jour. Mais désormais, la production a doublé : nous fabriquons 10 paires par jour. Vous comprenez que nous produisons et écoulons 300 paires par mois. Nous étions 5 employés. Aujourd’hui, nous sommes plus de 10.

Daniel Barakamfitiye
Fabrication des chaussures et sacs en cuir, Bujumbura Mairie
Daniel Barakamfitiye

Avant d’être financé par PAEEJ, je produisais du pain avec les mains. Je gagnais à peine 100 mille Fbu le mois. Depuis le soutien du PAEEJ, tout a changé. J’ai acheté des machines, je gagne 600 à 700 mille Fbu de bénéfice par mois. J’ai déjà embauché 7 employés à temps plein.

Salvator Bahaminyakamwe
Boulangerie-cafétéria, Karusi
Salvator Bahaminyakamwe

Ça m’a pris 3 longues années à essayer de mettre en œuvre ce projet sans succès. Le parcours a été très long, nous avons souffert. Grâce au PAEEJ, mon rêve est devenu réalité. 1 mois après le lancement du projet, j’ai déjà vendu 4000 ampoules.

Landry Nikiza
C.E.O de l’entreprise NIBE (Nikiza Bio Energie), Gitega
Landry Nikiza

Au début, tout le travail était manuel. J’avais un seul employé. La production était très faible, je transformais 10 lapins par jour. Je gagnais entre 100 et 200 mille Fbu de bénéfice par mois. Avec PAEEJ, j’ai pu acheter des machines, je peux transformer 20 à 25 lapins par jour équivalent à 40 kg. J’ai déjà vendu 15 paires de chaussures. Aujourd’hui, après 2 mois de démarrage du projet, j’ai déjà un chiffre d’affaires de 1 million de Fbu.

Lin Niyondavyi
Chef de l’entreprise « Rukwavu products » qui fabrique des chaussures en peaux de lapins, Kayanza
Lin Niyondavyi

Depuis que le PAEEJ a augmenté mon capital, la production a sensiblement augmenté, passant de 300 cartons à 1300 cartons de craies par mois. Mon chiffre d’affaires annuel a doublé : il a passé de 350 millions à 700 millions de Fbu. Le personnel a augmenté, l’entreprise compte 35 employés permanents et 70 temporaires.

Franck Ndisanze
Initiateur de la société Alfa Group qui fabrique des craies en mairie de Bujumbura
Franck Ndisanze

Avant je travaillais seul et la production n’était pas bonne car j’avais un moteur très petit. Je gagnais 100 à 150 mille par mois. Mais depuis le financement du PAEEJ, je gagne plus de 500 mille Fbu par mois de bénéfice. Nous sommes trois salariés et des journaliers qui nous aident quand nous avons beaucoup de commandes.

Obède Nsengiyumva
Proprietaire d'un Atelier de soudure, Cankuzo
Obède Nsengiyumva

Je gagne déjà autour de 800 mille/mois grâce au financement du PAEEJ. Avec le bénéfice que je tire dans ce projet, je me suis lancé dans l'élevage de lapins. J’ai jusqu’ici créé 2 emplois.

Lambert Bizimana
Fondateur de la la société ‘’Trade Chicken Center’’ qui fabrique des machines couveuses, Kayanza
Lambert Bizimana

Désormais, les gens m’appelle DG (Directrice général) ou « Mabuja »… Aujourd’hui, je me considère comme une femme leader. Je satisfais tous mes besoins avec mes propres moyens. Certains jeunes survivent grâce à moi car je les ai donnés de l’emploi.

Valentine Ndayisenga
Coiffeuse d’hommes, propriétaire d’un salon de beauté, Bujumbura rural
Valentine Ndayisenga

J’ai commencé à murir l’idée quand j’étais étudiante. C’est en septembre 2022 que j’ai lancé le projet de parfums seulement. Avant PAEEJ, j’ai commencé avec un petit budget de 3.000.000 Fbu. Avec le financement du PAEEJ, je produis des articles valant plus de 10 millions Fbu. J’ai pu diversifier les produits, je fabrique des pommades, des savons…Je travaillais seule mais aujourd’hui, j’ai créé 4 emplois.

Kelly Ngaruko
Fabrication de produits cosmétiques (parfums, lotion…), Bujumbura Mairie
Kelly Ngaruko

Le financement du PAEEJ a carrément changé nos vies. Avant, nous travaillions avec les mains. Aujourd’hui, vous voyez que tout a changé, nous utilisons des machines. Avec le financement du PAEEJ, le personnel a augmenté à 10 employés de plus. Le bénéfice a doublé, 700 mille Fbu par mois.

Rachidi
Atelier de menuiserie, Karusi
Rachidi

Avant, je travaillais seul et je gagnais autour de 300 mille Fbu par mois. Aujourd’hui, le chiffre d’affaires a beaucoup augmenté : un bénéfice de plus de 900 mille Fbu après avoir payé les salaires et autres dépenses. Mes chaussures sont très prisées dans la localité. Tu ne peux pas faire 2 pas sans voir quelqu’un qui les porte. J’ai créé 5 emplois.

Jean Marie Kajeneza
Fabrication des chaussures et accessoires de décor des voitures, Muramvya
Jean Marie Kajeneza

Depuis que je suis bénéficiaire du PAEEJ, je produis 5 sacs de farine, avant je ne dépassais pas ½ sac. Je gagnais 20 mille Fbu par jour contre 200 mille Fbu par jour aujourd’hui. Je peux gagner 3 millions de Fbu par mois de bénéficie. J’arrive à 8 employés contre 2 avant. Nos rêves sont en train de devenir réalité grâce au PAEEJ.

Célestin Niyongabo
Boulangerie, Rumonge
Célestin Niyongabo

J’ai commencé ce projet à la fin de mes études universitaires. Le déclic pour se lancer : je voyais le calvaire des cultivateurs du piment qui peinaient pour trouver du marché et leur piment périmait. Ils étaient découragés et nombreux d’entre eux étaient sur le point de lâcher l’affaire. C’est ainsi que j’ai commencé la transformation du piment et éviter son importation. Avant le financement du PAEEJ, je produisais 50 litres de piment liquide par jour. Avec PAEEJ, je me suis procuré des machines qui ont la capacité de produire 2000 litres par jour. Je travaillais avec les agriculteurs de Gatumba seulement. Aujourd’hui, il s’est ajouté Rutana, Bururi, Gitega, Karusi. Ils sont passé de 50 à 150 cultivateurs. Et les salariés sont passés de 5 à 17 aujourd’hui.

Eloge Niyomwungere
Producteur du piment de toutes sortes : liquide, poudre, huile…
Eloge Niyomwungere

Avant, je travaillais seul et tout le travail était manuel. Grâce au PAEEJ, je me suis procuré de machines et j’ai pu embaucher 9 employés. Je peux écouler 80 kg de savons par jour, 1 kg coûtant 4000 Fbu.

Isaïe Ndayihimbaze
C.E.O de l’entreprise Maison Isan, produisant des Pommades et savons, Bujumbura Mairie
Isaïe Ndayihimbaze

Avant, je ne pouvais pas m’acheter de vêtements ou du savon car j’étais chômeur. Ma famille est très pauvre, mes parents ne travaillent pas. Grâce au financement du PAEEJ, ma vie a changé. Je peux m’offrir tout ce que je désire.

Nadège Ntunzwenimana
Boulangerie, Bujumbura mairie
Nadège Ntunzwenimana

Au tout début de mon projet, je produisais 70 à 110 kg par mois. Mais puisque je travaillais avec les mains, la BBIN ne m’a pas permis de continuer. Je suis tombé en faillite et j’ai fermé. C’est grâce au PAEEJ que j’ai remis en marche mon projet. Le financement du m’a permis d’acheter les machines. Je me suis procuré de machines et la BBIN m’a donné la certification. Aujourd’hui, je produis 3 à 4 tonnes d’Omo par mois équivalentes à 12 millions de Fbu. J’ai 12 employés.

Serges Kwizera
Producteur du savon poudre, Ngozi
Serges Kwizera

Depuis le financement du PAEEJ, j’ai la capacité de produire 20 à 30 emballages par jour. Chaque semaine, je peux écouler 50 à 100 emballages équivalent à autour de 100 mille Fbu que je gagne chaque semaine. J’ai embauché 2 autres jeunes qui ont un salaire chaque mois.

Divine Irambona
Initiateur de l’entreprise "Trans Eco" qui fabrique les emballages en tronc de bananiers, Cibitoke
Divine Irambona

Je suis diplômé D6 et chômeur depuis 7 ans. Je me suis lancé dans l'élevage de porcs grâce au PAEEJ. Nul doute que ce projet va améliorer mes conditions de vie. Ma coopérative a déjà créé trois emplois en deux mois seulement.

Arcade NDUWIMANA
Membre d'une coopérative de la colline Bitezi, commune Matana de la province Bururi .
Arcade NDUWIMANA

J’ai commencé ce projet en 2019. Je travaillais difficilement car je n’avais pas assez de matériel. Nous étions à 2 avec une seule machine. Grâce au PAEEJ, j’ai du matériel moderne de qualité. Je suis confiant que mon entreprise sera compétitive au niveau régional. La production a beaucoup augmenté. Nous produisons 300 sacs par mois contre 50 avant le financement du PAEEJ. Le bénéfice a passé de 100 mille Fbu à 350 mille Fbu par mois. J’ai 6 employés salariés et 3 temporaires.

Elysée Niyera
C.E.O de « Masihi Made Company » fabrique les sacs à bagages, sacs à dos, sacs à mains. Muramvya
Elysée Niyera

Je ne regrette pas. Depuis que le PAEEJ existe dans ce pays, je ne regrette pas. De vendeuse du charbon dans la rue à chef d’entreprise, je suis très fière. Avant, les gens me sous estimaient. Mais aujourd’hui, ils me respectent et m’appellent l’employée du PAEEJ

Violette Ntirampeba
CEO de l’entreprise production aliments bétail en rafles de maïs, Rutana.
Violette Ntirampeba

Nous produisons déjà 1000 paquets de cure-dents par jour. Nous avons déjà créé 8 emplois. Soucieux de la protection de l'environnement, nous avons opté d'emballer les cure-dents dans un carton pour lutter contre le plastique dans lequel sont emballés les cure-dents que l'on est habitué à utiliser.

Landry Bihorimbere
C.E.O d'une usine de fabrication des cure-dents « Hippo Tooth », Bujumbura Mairie
Landry Bihorimbere

Au début de mon projet, c’est à peine si je gagnais un million de Fbu par mois. J’avais 3 employés seulement. Avec le financement du PAEEJ, le chiffre d’affaire ne cesse de monter. Je peux gagner jusqu’à 10 millions de Fbu par mois. Mon entreprise a embauché 30 employés.

Vianney Baseka
Producteur de savons (shampoing, savons solides, liquides…), Bujumbura Mairie
Vianney Baseka

Nous étions de simples cultivateurs et vendeurs de canne à sucre. Grâce au financement du PAEEJ, nous avons commencé la transformation de la canne à sucre. Dès lors, la production a doublé : nous produisons 250 litres par jour. Avons, l’entreprise avait la capacité de produire 80 à 130 litres par jour. Nous étions 4 employés avec une seule machine. Aujourd’hui, nous sommes 7.

Aron Niyuhire
Président d’une coopérative qui produit du jus et vin de canne à sucre, Ngozi
Aron Niyuhire

Je suis lauréate des Humanités depuis 2018 j’étais jusque-là chômeur. Avec cet élevage de porcs, PAEEJ m'a donnée de l'emploi.

Athanasie NDAYIRAGIJE, 27 ans
Présidente d'une coopérative bénéficiaire du PAEEJ avec un projet d’élevage de porcs.
Athanasie NDAYIRAGIJE, 27 ans

Avant d’obtenir le financement du PAEEJ, je travaillais tant bien que mal, seul. Je produisais 200 à 300 bouteilles par mois. Depuis le soutien du PAEEJ, nous produisons et écoulons 5000 bouteilles par mois. Et nous ne sommes qu’au début. Aujourd’hui, nous avons 10 employés salariés et plusieurs autres agriculteurs journaliers. Après toutes les dépenses, l’on gagne plus de 1.500.000 Fbu de bénéfice par mois.

Eliezer Iradukunda
Initiateur de la Société FICA, Transformation agro-alimentaire, jus de fruits, Gitega
Eliezer Iradukunda

Les débuts étaient très difficiles. Je travaillais dans la rue. PAEEJ m’a donné une adresse, j’ai pu construire un atelier grâce à son financement. Je peux produire 20 chaussures par jour. Je gagne un bénéfice de 300 à 400 mille Fbu par jour. J’ai déjà créé 3 emplois.

Ernest Nizigiyimana
Fabrication des chaussures, ceintures et autres accessoires en simili cuir , Bubanza
Ernest Nizigiyimana

Je travaillais à la maison avant d’être financé par PAEEJ. Je ne gagnais pas plus de 100 mille Fbu par mois. Désormais, j’ai une adresse. Je gagne jusqu’à 500 mille Fbu par mois. J’ai créé 2 emplois. C’est grâce à ce projet que j’ai pu payer mes études universitaires.

Benoît Nikiza
Artiste et artisan, Bururi
Benoît Nikiza

Au début de mon projet, j’utilisais le téléphone dans ma chambre comme studio. Je ne gagnais presque rien. Avec le financement du PAEEJ, j’ai eu l’adresse. Je me suis doté d’un beau studio qui répond aux normes, j’ai pu acheter du matériel (caméras, appareils photos, drones et tous les autres accessoires…) Aujourd’hui, j’emploie 5 salariés et des employés journaliers. Je peux gagner jusqu’à 1 million de Fbu.

Claude Kubwimana
C.E.O de l’Agence de Communication et Marketing « Baravuga », Gitega
Claude Kubwimana

Depuis le soutien du PAEEJ, j’ai vu la production augmentée spéctaculairement : 100 tonnes d’aliments sont produites par mois. Avant, je ne dépassais pas 3 tonnes. Le personnel a augmenté jusqu’à 16. Aujourd’hui, j’ai un bénéfice de plus de 15 millions Fbu par mois.

Nephtalie Ciza
Proprietaire d'une usine de transformation des aliments de bétail, Makamba
Nephtalie Ciza

J’ai déjà a déjà collecté 2,5 tonnes de plastiques qui ont produit 4300 blocs ciments équivalents à plus de 2 millions Fbu.

Aubin Kezingabo
C.E.O de Trust Constructions, fait le recyclage des bouteilles plastiques en blocs ciment.
Aubin Kezingabo

J’ai commencé avec un peu de moyens. Je ne pouvais pas satisfaire toutes les commandes car je travaillais seul. C’est ainsi que l’idée de demander le financement au PAEEJ m’est venu pour agrandir mon entreprise et recruter des employés pour m’aider. Avant, je gagnais autour de 5 millions de Fbu par mois avec 12 employés. Depuis que je suis bénéficiaire du PAEEJ, je gagne 10 à 12 millions de Fbu par moi et j’arrive jusqu’à 20 employés.

Landry Gatore
Propriétaire d'un atelier de menuiserie « Daudi Company » dans la ville de Gitega
Landry Gatore

J’ai démarré la société il y a 2 ans. Depuis que le PAEEJ a augmenté mon capital, l’entreprise a beaucoup grandi. La production a quadruplé : 12 tonnes de farine par mois. J’emploie 40 personnes contre 7 avant le financement du PAEEJ. Ma farine de bouillie est vendue dans tout le pays. J’ai démarré ce projet avec un capital de 15 millions de Fbu. Le chiffre d’affaires est aujourd’hui à plus de 100 millions Fbu.

Abassi Sibomana
C.E.O de
Abassi Sibomana

En moyenne, la production est de 4 tonnes par semaine. Cette quantité équivaut à 2 millions Fbu.

Cédric Niyongabo
Patron de la société "Innova Breading Food Company" de fourrage vert hydroponique , Bujumbura Mairie
Cédric Niyongabo

J’ai déjà des commandes équivalentes à environ 5 millions Fbu. J’ai déjà créé 7 emplois.

Richard Mpawenimana
Fabrication des pavés en déchets plastiques, Karusi
Richard Mpawenimana

J’ai commencé ce projet quand j’étais à l’université. Je travaillais seul. Mais la demande n’a pas cessé d’accroître car ma boulangerie est entourée par l’université de Mwaro, l’hôpital…J’ai alors embauché 12 employés. J’ai ouvert des points de vente un peu partout. Le PAEEJ m’a soutenu alors que j’arrivais à 24 employés. Mais j’avais un petit four qui ne produisais pas assez. Le financement du PAEEJ m’a permis d’avoir un très grand four qui peut griller le pain valant 80 mille à 100 mille Fbu. Je suis à 34 employés aujourd’hui grâce au PAEEJ. Par jour, je gagne 1 million de Fbu comme chiffre d’affaires.

Clovis Munezero alias ‘’Happy’’
Boulangerie, Mwaro
Clovis Munezero alias ‘’Happy’’